Au tribunal de Bobigny, mercredi, deux employées de l’éditeur de jeux vidéo ont surtout décrit une entreprise toxique, des scènes de harcèlement sexuel et même une agression.Serge Hascoët (à droite), ancien directeur créatif d’Ubisoft, au tribunal de Bobigny, le 2 juin 2025.
Au procès des anciens cadres d’Ubisoft, la défense maladroite de deux salariées tentant de dédouaner l’ex-numéro deux : « S’il l’avait su, il aurait cherché à me protéger »
Scritto il 05/06/2025
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